GROUPE AYANT UN POTENTIEL D’AMELIORATION. Ce sous-groupe est défini par deux facteurs :
GROUPE CIBLE POUR PREVENIR UN DECLIN. Ce sous-groupe est également défini par la capacité de communication et de prise de décision quotidienne, mais dans ce cas la personne tend à avoir un meilleur niveau de fonctionnement des capacités de communication, et une moins bonne aptitude à prendre des décisions quotidiennes.
Etant donné cette déficience cognitive, ce sous-groupe est le plus susceptible de décliner au niveau de la communication. Toutefois, seule une minorité verra une dégradation (environ 15 %), le point central des soins est de réduire la probabilité que cela arrive. Remarque : ce groupe comprend environ 25 % des personnes dans les « nursing homes » américaines, 10 % des bénéficiaires de soins à domicile et moins d’un pourcent des personnes âgées qui vivent de façon autonomes au sein de la communauté.
GROUPE NON A RISQUE. Ce sous-groupe comprend toute personne chez qui il n’est pas approprié de viser une récupération fonctionnelle ou un maintien fonctionnel pour prévenir une dégradation. Il existe un équilibre entre les capacités à communiquer et la capacité cognitive (comme le mesure la prise de décision dans la vie quotidienne). On distingue trois sous-groupes : une bonne communication et une bonne cognition, une communication moyenne et une cognition moyenne, une mauvaise communication et une mauvaise cognition.
Ce sous-groupe est le moins susceptible de changer au cours du temps, comme l’aptitude à communiquer équivaut à l’aptitude cognitive. Remarque - ce groupe comprend environ 64 % des personnes dans les « nursing homes » américaines, 88 % des bénéficiaires en soins à domicile et 99 % des personnes âgées qui vivent de façon autonome au sein de la communauté. Les soins pour les personnes de ce groupe se limitent à contrôler tout déclin inattendu du niveau de communication.
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