b. Infestation – par ex. extrêmement sale. Il peut y avoir sur le sol de l’urine, des excréments desséchés ou des aliments desséchés ou une infestation par des insectes ou de la vermine (par exemple souris, rats), des insectes. Pour qu’un logement soit codé comme infesté il faut qu’il soit dans des conditions beaucoup plus déplorables que le désordre habituel, la poussière et la saleté accumulée sur une semaine ou plus.
c. Chauffage ou climatisation inadéquat - Les systèmes de chauffage et de climatisation peuvent être inadéquats (par ex. trop froid en hiver, trop chaud en été) ou inappropriés (par exemple trop froid en été ou trop chaud en hiver et non réglable par la personne ou l’aidant)
d. Manque de sécurité de la personne - par ex., a peur d’être agressée, problème de sécurité pour chercher son courrier ou rendre visite aux voisins, circulation intense dans la rue. La personne est (se sent) potentiellement exposée à la violence à l’intérieur ou aux abords immédiats de son logement. Cela comprend un risque réel ou perçu que quelqu’un s’introduise dans le logement, d’être attaqué en allant ramasser son courrier ou en quittant ou revenant à son logement.
e. Accessibilité au logement ou aux pièces à l’intérieur du logement limitée - par exemple difficultés pour sortir et entrer dans le logement ; incapable de monter les escaliers ; difficulté pour manœuvrer dans les pièces ; pas de barres pour se tenir bien qu’elles soient nécessaire. Problèmes d’ordre physique dans l’immeuble qui limitent l’accès, par exemple une personne habite au deuxième étage et doit entrer ou sortir par un escalier dangereux ; la personne habite dans un complexe d’appartements dans lequel l’ascenseur est souvent en panne et où la rampe d’escalier n’est pas sure.