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!!CAP Support informel |
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[Problème|GADSoutComplet#Probl_C3_A8me] - [Déclenchement|GADSoutComplet#D_C3_A9clenchement] - [Recommandations|GADSoutComplet#Recommandations] - [Complément|GADSoutComplet#Compl_C3_A9ment] |
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!Problème du Soutien Informel |
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Ce guide d’analyse clinique (GAD) vise les situations dans lesquelles la personne âgée pourrait avoir besoin d’une aide extérieure supplémentaire et en particulier les situations dans lesquelles un service spécialisé peut être mis en place. Dans ces situations, les besoins de la personne âgée excèdent habituellement la capacité de réponse du réseau d’aide informelle. Les soins informels Comprennent un soutien instrumental et un soutien personnel apportés à la personne par la famille, les amis et les voisins. Le soutien instrumental comprend : la préparation des repas, le travail ménager, la gestion des finances, etc. Le soutien personnel comprend : la mobilité dans le lit, l’habillement, l’utilisation des toilettes, etc. |
!Problème |
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Le CAP "support informel" vise les situations dans lesquelles la personne âgée pourrait avoir besoin d’une aide extérieure supplémentaire et en particulier les situations dans lesquelles un service spécialisé peut être mis en place. Dans ces situations, les besoins de la personne âgée excèdent habituellement la capacité de réponse du réseau d’aide informelle. Les soins informels comprennent un soutien instrumental et un soutien personnel apportés à la personne par la famille, les amis et les voisins. Le soutien instrumental (AIVQ) comprend : la préparation des repas, le travail ménager, la gestion des finances, etc. Le soutien personnel (AVQ) comprend : la mobilité dans le lit, l’habillement, l’utilisation des toilettes, etc. |
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Toutefois, avec le vieillissement et l’apparition de maladies chroniques et de handicaps c’est souvent dans les activités instrumentales de la vie quotidienne qu’un déclin apparaît en premier lieu. Lorsque ce déclin apparaît, les membres de la famille et les amis interviennent souvent pour aider la personne âgée à accomplir des tâches telles que faire les courses, cuisiner ou aider pour les déplacements. De façon alternative, quand il existe une relation personnelle « proche » avec une aide ménagère rémunérée, cette personne peut assumer des responsabilités supplémentaires. Le temps total nécessaire pour l’accomplissement de ces tâches n’augmente pas, simplement il est pris en charge par l’entourage plutôt que par la personne. De telles augmentations du support informel n’affectent généralement pas la qualité des liens qui unissent la personne et son entourage. L’affection et le sens du devoir amènent la famille à assumer ces rôles. La prise en charge des tâches se fait habituellement naturellement et de manière non-dite. La personne âgée se retrouve rarement en situation de danger ou de détresse et lorsqu’un nouveau besoin apparaît, la famille ou les amis interviennent presque toujours pour y remédier. |
Toutefois, avec le vieillissement et l’apparition de maladies chroniques et de handicaps c’est souvent dans les activités instrumentales de la vie quotidienne qu’un déclin apparaît en premier lieu. Lorsque ce déclin apparaît, les membres de la famille et les amis interviennent souvent pour aider la personne âgée à accomplir des tâches telles que faire les courses, cuisiner ou aider pour les déplacements. De façon alternative, quand il existe une relation personnelle "proche" avec une aide ménagère rémunérée, cette personne peut assumer des responsabilités supplémentaires. Le temps total nécessaire pour l’accomplissement de ces tâches n’augmente pas, il est simplement pris en charge par l’entourage plutôt que par la personne. De telles augmentations du support informel n’affectent généralement pas la qualité des liens qui unissent la personne et son entourage. L’affection et le sens du devoir amènent la famille à assumer ces rôles. La prise en charge des tâches se fait habituellement naturellement et de manière non-dite. La personne âgée se retrouve rarement en situation de danger ou de détresse et lorsqu’un nouveau besoin apparaît, la famille ou les amis interviennent presque toujours pour y remédier. |
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Pourtant, dans ce guide d’analyse clinique, on cherche à identifier les personnes qui présentent un risque de défaillance du système d’aide informelle, c’est-à-dire celles qui reçoivent trop peu d’aide par rapport à leur capacité fonctionnelle. Même si leur réseau d’aide informelle est attentif, il peut être incapable de répondre complètement aux besoins de la personne déficiente. |
Pourtant, dans ce guide d’analyse clinique, on cherche à identifier les personnes qui présentent un risque de défaillance du système d’aide informelle, c’est-à-dire celles qui reçoivent trop peu d’aide par rapport à leur capacité fonctionnelle. |
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*Identifier les personnes dont l’état s’aggrave et dont les besoins augmentent disproportionnellement par rapport à l’aide que la famille peut apporter. |
*Identifier les personnes dont l’état s’aggrave et dont les besoins augmentent disproportionnellement par rapport à l’aide que la famille peut apporter. |
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!Déclenchement du GAD Soutien Informel |
!Déclenchement |
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L’objectif de ce GAD est d’identifier les personnes qui requièrent habituellement une aide pour les activités instrumentales de la vie quotidienne et en particulier celles dont la famille éprouve des difficultés à répondre complètement à des besoins croissants. Même si l’entourage est presque toujours compatissant vis-à-vis de la détresse de la personne, des services d’aide spécialisés doivent être contactés pour procurer une aide plus importante à ces personnes. Si ces services spécialisés ne sont pas encore impliqués, il faut préparer les membres de la famille à y recourir. |
L’objectif de ce CAP est d’identifier les personnes qui requièrent habituellement une aide pour les activités instrumentales de la vie quotidienne et en particulier celles dont la famille éprouve des difficultés à répondre complètement à des besoins croissants. Même si l’entourage est presque toujours compatissant vis-à-vis de la détresse de la personne, des services d’aide spécialisés doivent être contactés pour procurer une aide plus importante à ces personnes. Si ces services spécialisés ne sont pas encore impliqués, il faut préparer les membres de la famille à y recourir. |
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Ce GAD ne cherche pas à porter un jugement ou à culpabiliser le réseau d’aide informelle. Il cherche seulement à identifier les personnes dont le réseau informel tirerait un avantage du recours à une stratégie d’aide alternative si la personne décline. Le réseau informel est désigné comme « fragile » dans ces situations. |
Ce CAP ne cherche pas à porter un jugement ou à culpabiliser le réseau d’aide informelle. Il cherche seulement à identifier les personnes dont le réseau informel tirerait un avantage du recours à une stratégie d’aide alternative si la personne décline. Le réseau informel est désigné comme "fragile" dans ces situations. |
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__GROUPE A RISQUES SI LES DEUX CONDITIONS SUIVANTES SONT REMPLIES : __ |
__GROUPE A RISQUE SI LES DEUX CONDITIONS SUIVANTES SONT REMPLIES : __ |
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Pour les personnes âgées vivant au sein de la communauté, chaque point de déclin dans une AIVQ se traduit par une perte d’autonomie de 10% dans l’accomplissement des activités instrumentales. Le groupe à risques comprend environ 40% des personnes âgées recevant des soins à domicile et 10% des personnes âgées vivant en autonomie. |
Pour les personnes âgées vivant au sein de la communauté, chaque point de déclin dans une AIVQ se traduit par une perte d’autonomie de 10 % dans l’accomplissement des activités instrumentales. Le groupe à risques comprend environ 40 % des personnes âgées recevant des soins à domicile et 10 % des personnes âgées vivant en autonomie. |
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Pour le groupe à risques, les niveaux d’aide informelle fournie représentent moins de la moitié de ceux des groupes non à risques. Toutefois, un changement des facteurs de risques (par exemple le fait de ne plus vivre seul) peut remettre en adéquation le niveau d’aide informelle mais généralement l’entourage devra prendre en charge une part de plus en plus importante des activités instrumentales avec un risque d’épuisement. |
Pour le groupe à risques, les niveaux d’aide informelle fournie représentent moins de la moitié de ceux des groupes non à risques. Toutefois, un changement des facteurs de risques (par exemple le fait de ne plus vivre seul) peut remettre en adéquation le niveau d’aide informelle mais généralement l’entourage devra prendre en charge une part de plus en plus importante des activités instrumentales avec un risque d’épuisement. Néanmoins, pour ce groupe cible, la personne va probablement continuer à assumer seule une proportion plus élevée d’activités instrumentales. Cela peut stimuler la personne et résulte dans ces activités fonctionnelles moins bien accomplies. |
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Pour les bénéficiaires de soins à domicile, l’objectif sera d’identifier les personnes qui présentent une défaillance du support familial et chez qui des services d’aide professionnels pourraient intervenir. Quand ces services sont mis en place, la personne peut recevoir une aide pour accomplir les activités qu’elle ne peut plus assumer seule. |
Pour les bénéficiaires de soins à domicile, l’objectif sera d’identifier les personnes qui présentent une défaillance du support familial et chez qui des services d’aide professionnels pourraient intervenir. Quand ces services sont mis en place, la personne peut recevoir une aide pour accomplir les activités qu’elle ne peut plus assumer seule. |
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__GROUPE NON A RISQUES.__ TOUTES les autres personnes. |
__GROUPE NON A RISQUE.__ TOUTES les autres personnes. |
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!Recommandations à propos du GAD Soutien Informel |
!Recommandations |
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Evaluer la personne à risques au niveau du déclin dans les AIVQ, identifier les besoins de soins, identifier les familles qui ne peuvent fournir le support informel suffisant. Une discussion avec la famille (ou avec la personne) devrait prendre place pour déterminer la nature des difficultés auxquelles faire face et explorer les alternatives possibles telles que : |
*Aider la personne à emménager avec un être cher. Les services professionnels devraient fournir une aide au déménagement. |
**Elaborer une stratégie avec la famille et les services spécialisés pour rencontrer les besoins de la personne. Il est évident que l’élaboration d’une telle stratégie implique que la personne ait droit au recours à ces services spécialisés quand un système de financement existe pour ces services. Quand ce n’est pas le cas, il faudra trouver des services privés pour couvrir ces besoins. |
**Si l’accès plus intense à des services d’aide extérieurs n’est pas une option, des efforts devraient être fait pour aider les membres de la famille à explorer des domaines dans lesquels ils seraient capables de faire plus. En plus, comme c’est indiqué ci-dessous, une revue des troubles fonctionnels et d’autres GAD peut aider à identifier s’il y a une possibilité d’amélioration pour la personne. Si la réponse est affirmative, cela peut aider la famille d’être avertie de la possibilité d’une amélioration et du caractère temporaire du surcroît d’aide à fournir. Si la réponse est négative, la nécessité de fournir d’autres efforts ultérieurs doit être anticipée. |
**Certains membres de la famille peuvent être stressés ou surmenés. Cette évaluation peut leur donner la volonté ou la capacité d’augmenter leur aide. Dans un premier temps, revoir le GAD Maltraitance ; si ce problème existe, il devrait être traité en premier lieu. Si ce n’est pas le cas, considérer les facteurs suivants : |
***Des « soins de répit » permettraient-ils à la famille de récupérer au niveau de leur santé physique et de leur stress ? |
***Les membres de la famille sont-ils bien informés de l’état de la personne ? Faudrait-il améliorer la communication avec la famille ? les membres de la famille ont-ils des aidants potentiels en réserve ? |
__Evaluez la personne à risque au niveau du déclin dans les AIVQ, identifiez les besoins de soins, identifiez les familles qui ne peuvent fournir le support informel suffisant.__ Une discussion avec la famille (ou avec la personne) devrait prendre place pour déterminer la nature des difficultés auxquelles faire face et explorer les alternatives possibles telles que : |
*Aider la personne à emménager avec un être cher. Les services professionnels devraient fournir une aide au déménagement. |
**Elaborer une stratégie avec la famille et les services spécialisés pour rencontrer les besoins de la personne. Il est évident que l’élaboration d’une telle stratégie implique que la personne ait droit au recours à ces services spécialisés quand un système de financement existe pour ces services. Quand ce n’est pas le cas, il faudra trouver des services privés pour couvrir ces besoins. |
**Si l’accès plus intense à des services d’aide extérieurs n’est pas une option, des efforts devraient être fait pour aider les membres de la famille à explorer des domaines dans lesquels ils seraient capables de faire plus. En plus, comme c’est indiqué ci-dessous, une revue des autres CAP peut aider à identifier s’il y a une possibilité d’amélioration pour la personne. Si la réponse est affirmative, être avertie de la possibilité d’une amélioration et du caractère temporaire du surcroît d’aide à fournir peut aider la famille. Si la réponse est négative, la nécessité de fournir d’autres efforts ultérieurs doit être anticipée. |
**Certains membres de la famille peuvent être stressés ou surmenés. Cette évaluation peut leur donner la volonté ou la capacité d’augmenter leur aide. Dans un premier temps, revoir le CAP "maltraitance" ; si ce problème existe, il devrait être traité en premier lieu. Si ce n’est pas le cas, considérer les facteurs suivants : |
***Des "soins de répit" permettraient-ils à la famille de récupérer au niveau de leur santé physique et de leur stress ? |
***Les membres de la famille sont-ils bien informés de l’état de la personne ? Faudrait-il améliorer la communication avec la famille ? Les membres de la famille ont-ils des aidants potentiels en réserve ? |
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***La personne a-t-elle refusé des offres d’aide ? certaines personnes refusent de demander de l’aide à des services officiels ou privés. Dans de telles familles, on trouve souvent des antécédents de refus d’aide dans le passé. La solution est souvent de surveiller et d’attendre le moment favorable pour conseiller une aide. |
***La personne a-t-elle refusé des offres d’aide ? Certaines personnes refusent de demander de l’aide à des services officiels ou privés. Dans de telles familles, on trouve souvent des antécédents de refus d’aide dans le passé. La solution est souvent de surveiller et d’attendre le moment favorable pour conseiller une aide. |
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Identifier ceux qui n’ont pas d’accompagnant principal informel. Les 15% des personnes à risques qui n’ont pas d’accompagnant principal sont celles qui reçoivent le moins de soutien informel. Parmi ces personnes, 50% sont veufs ou veuves, 22% n’ont jamais été mariées, 17% sont divorcées. Quand leur état de santé décline, elles ont le même besoin d’augmentation des soins informels que les autres mais reçoivent moins d’aide que les personnes non à risques. |
__Identifier ceux qui n’ont pas d’accompagnant principal informel.__ Les 15% des personnes à risque qui n’ont pas d’accompagnant principal sont celles qui reçoivent le moins de soutien informel. Parmi ces personnes, 50 % sont veufs ou veuves, 22 % n’ont jamais été mariées, 17 % sont divorcées. Quand leur état de santé décline, elles ont le même besoin d’augmentation des soins informels que les autres mais reçoivent moins d’aide que les personnes non à risques. |
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*Pour les gens qui n’ont pas d’accompagnant principal et qui ne reçoivent pas du tout de soutien informel, le recours à des services officiels doit être considéré. Comme cela a été décrit plus haut, certaines personnes vont refuser toute aide officielle ou privée. Dans ces cas, la seule stratégie est de surveiller et d’attendre une occasion pour proposer une aide extérieure. |
*Pour les gens qui n’ont pas d’accompagnant principal et qui ne reçoivent pas du tout de soutien informel, le recours à des services officiels doit être considéré. Comme cela a été décrit plus haut, certaines personnes vont refuser toute aide officielle ou privée. Dans ces cas, la seule stratégie est de surveiller et d’attendre une occasion pour proposer une aide extérieure. |
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Voir les autres GAD pour identifier les domaines dans lesquels la personne pourrait s’améliorer et donc nécessiter moins d’aide dans le futur. Si de tels changements sont possibles et probables, la famille pourrait souhaiter aider plus pour une courte période à condition qu’à long terme les soins puissent diminuer quand l’état de la personne s’améliore. Les GAD à consulter sont : [AIVQ|GADAIVQ], [AVQ|GADAVQ], [Cognition|GADCogn], [Promotion de la Santé|GADProm], [Comportement|GADComp], [Humeur|GADHum] et [Delirium|GADDel] |
__Voir les autres CAP pour identifier les domaines dans lesquels la personne pourrait s’améliorer et donc nécessiter moins d’aide dans le futur.__ Si de tels changements sont possibles et probables, la famille pourrait souhaiter aider plus pour une courte période à condition qu’à long terme les soins puissent diminuer quand l’état de la personne s’améliore. Les CAP à consulter sont : ["AIVQ"|GADAIVQ], ["AVQ"|GADAVQ], ["Cognition"|GADCogn], ["Promotion des activités physiques"|GADProm], ["Comportement"|GADComp], ["Troubles de l'humeur"|GADHum] et ["Délirium"|GADDel] |
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