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!!CAP Malnutrition |
!!CAP Nutrition |
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Ce CAP « Malnutrition » s’intéresse à l’état nutritionnel des personnes âgées qui ont un poids inférieur au poids « médicalement recommandé » par rapport à leur taille, déterminé par un faible score d’Indice de Masse Corporelle (Voir ci-dessous, déclenchement du CAP « nutrition »). Certaines personnes pour lesquelles ce CAP est déclenché présentent déjà une insuffisance pondérale significative, et sont sous-alimentées, alors que d’autres personnes sont seulement à risque de malnutrition. |
Ce CAP "Nutrition" s’intéresse à l’état nutritionnel des personnes âgées qui ont un poids inférieur au poids "médicalement recommandé" par rapport à leur taille, déterminé par un faible score d’Indice de Masse Corporelle (Voir ci-dessous, déclenchement du CAP "Nutrition"). Certaines personnes pour lesquelles ce CAP est déclenché présentent déjà une insuffisance pondérale significative, et sont sous-alimentées, alors que d’autres personnes sont seulement à risque de malnutrition. |
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*Les nouveaux médicaments ou traitements qui peuvent réduire l’appétit [voir CAP « médication appropriée »|GADMed]. |
*Les nouveaux médicaments ou traitements qui peuvent réduire l’appétit ([voir CAP "Médication appropriée"|GADMed]). |
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**Bouche sèche. Cet état peut être causé par : de multiples médicaments, des maladies autant que par une radiothérapie de la tête ou de la nuque ou encore la déshydratation. Les médicaments les plus souvent impliqués sont les hypotenseurs, les anxiolytiques, les antidépresseurs, les antipsychotiques, les anti cholinergiques et les antistaminiques [voir CAP « médication appropriée »|GADMed]. |
**Bouche sèche. Cet état peut être causé par : de multiples médicaments, des maladies autant que par une radiothérapie de la tête ou de la nuque ou encore la déshydratation. Les médicaments les plus souvent impliqués sont les hypotenseurs, les anxiolytiques, les antidépresseurs, les antipsychotiques, les anti cholinergiques et les antistaminiques ([voir CAP "Médication appropriée"|GADMed]). |
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*__Problèmes cognitifs et relationnels (communication).__ Un apport insuffisant de nourriture et une perte de poids sont associés à la sévérité du trouble cognitif de la personne (spécialement un score de performance cognitive (CPS) de 2 à 4 qui se traduit par un score MMSE inférieur à 10) (Voir [CAP Communication|GADComm] et [Cognition|GADCogn]). Les mécanismes varient, mais ils peuvent inclure : un déclin dans la manière de se nourrir seul, pour mastiquer, et un trouble de déglutition ; une perte du plaisir de manger ; et l’émergence d’une multitude de comportements pathologiques tels que déambuler à la recherche d’une nourriture agréable. Les stratégies de traitement de base pourraient être les suivantes : une recherche d’aliments attractifs, des approches non-menaçantes pour nourrir les personnes qui sont agressives physiquement ; ou l’introduction d’un schéma de surveillance pour s’assurer que toute la nourriture ou presque a été mangée. |
*__La dépression.__ La dépression peut amener la personne à diminuer son apport de nourriture. Un score de 3 ou plus sur l’échelle de dépression interRAI (DRS) suggère une dépression significative (voir [CAP Humeur|GADHum]). |
*__Problèmes cognitifs et relationnels (communication).__ Un apport insuffisant de nourriture et une perte de poids sont associés à la sévérité du trouble cognitif de la personne (spécialement un score de performance cognitive (CPS) de 2 à 4 qui se traduit par un score MMSE inférieur à 10) (Voir [CAP "Communication"|GADComm] et ["Cognition"|GADCogn]). Les mécanismes varient, mais ils peuvent inclure : un déclin dans la manière de se nourrir seul, pour mastiquer, et un trouble de déglutition ; une perte du plaisir de manger ; et l’émergence d’une multitude de comportements pathologiques tels que déambuler à la recherche d’une nourriture agréable. Les stratégies de traitement de base pourraient être les suivantes : une recherche d’aliments attractifs, des approches non-menaçantes pour nourrir les personnes qui sont agressives physiquement ; ou l’introduction d’un schéma de surveillance pour s’assurer que toute la nourriture ou presque a été mangée. |
*__La dépression.__ La dépression peut amener la personne à diminuer son apport de nourriture. Un score de 3 ou plus sur l’échelle de dépression interRAI (DRS) suggère une dépression significative (voir [CAP "Troubles de l'humeur"|GADHum]). |
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**Ceux qui utilisent les médicaments suivants peuvent requérir un ajustement de leur plan de soins nutritionnel : les diurétiques, certains médicaments pour le cœur, les anti-inflammatoires, les médicaments pour la maladie de Parkinson (voir [CAP « médication appropriée »|GADMed]) |
**Ceux qui utilisent les médicaments suivants peuvent requérir un ajustement de leur plan de soins nutritionnel : les diurétiques, certains médicaments pour le cœur, les anti-inflammatoires, les médicaments pour la maladie de Parkinson (voir [CAP "Médication appropriée"|GADMed]) |
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**Évaluer la « densité d’énergie » de la nourriture servie. |
**Évaluer la "densité d’énergie" de la nourriture servie. |